Nos analyses
Les signaux faibles : écouter l'implicite dans vos relations avec les communautés
À l’image d’une partie d’échecs, les signaux faibles sont de petits mouvements préalables à de grandes actions ayant - ou susceptibles d’avoir - des répercussions sur l’évolution d’un projet ou sur les activités courantes d’une organisation.
Les réseaux sociaux, précieux outils de relations avec les communautés
Les réseaux sociaux, en particulier Facebook et Twitter, sont des outils reconnus pour leur capacité à influer sur l’opinion publique et sur la perception d’un projet au sein d’une communauté où il est susceptible de se réaliser.
Évolution de l’acceptabilité sociale dans la prise de décisions des gouvernements
Tous les gouvernements veulent éviter les controverses et les crises, et ce, d’autant plus qu’une perception négative peut rapidement devenir une réalité pour l’électorat.
3 conseils pour gérer les commentaires négatifs sur les réseaux sociaux
La base d’une bonne modération est de se munir d’un Nétiquette claire et complète, c’est-à-dire, d’une série de règles de conduite et de politesse à respecter par toute personne souhaitant participer aux conversations vos comptes sociaux.
Social listening : plus que de la simple réputation numérique?
Le terme social listening désigne une technique de veille relative à l’écoute et au suivi des comptes sociaux d’une marque.
Six choses à savoir sur l’acceptabilité sociale
L’acceptabilité sociale, nouveau buzzword? Le terme est utilisé à toutes les sauces et dans toutes sortes de contextes afin de remporter la bataille de l’opinion publique.
Le défi de communiquer en cette ère où des opinions sur tiennent lieu d’informations sûres
En donnant la possibilité à chaque individu de passer du statut de consommateur à celui de producteur de contenus, voire de devenir lui-même un « média », les médias sociaux ont joué un rôle de catalyseur dans l’avènement du journalisme d’opinion et du journalisme citoyen et son corollaire : un glissement progressif de la démocratie représentative vers une démocratie d’opinion ou « doxocratie », terme forgé par l’essayiste et journaliste français Jacques Julliard à partir des mots grecs doxa (l’opinion) et kratos (l’autorité, le pouvoir).
